Publié le 29/03/2013
Avec deux étapes au compteur, vous êtes un peu le fil rouge des JDA 2013… Qu'avez-vous pensé de ces deux étapes ?
Ce n'est que du bonheur. Lorsque l'on parle des JDA, ce ne sont pas que des mots sur une pancarte, l'esprit de l'opération est bien réel. Un mot me vient surtout en tête pour caractériser les JDA, c'est le partage. Nous assistons à des évènements, nous participons à des animations avec les enfants, à des conférences avec des chefs d'entreprise, des étudiants… cette valeur n'est pas galvaudée, ce sont des moments d'échanges intenses.
Quels sont vos meilleurs souvenirs ?
Si je devais en ressortir, ce serait d'abord, sur le plan personnel, la conférence du jeudi matin à Versailles, devant autant de chefs d'entreprise. C'était tout nouveau pour moi, et cela a été une superbe découverte. L'atelier cuisine a également été un moment très sympathique.
Après, il est évident que les moments passés avec les enfants sur les terrains sont toujours à part. C'est un public qui vient pour toi, qui est très attentif, très motivé, qui a des étoiles plein les yeux, et cela te rend encore plus heureux d'être là.
Les moments critiques ?
Les lendemains de soirée ! (Rires). Blague à part, il n'y a pas véritablement de moments critiques, car nous sommes mis dans de telle conditions, que nous ne sommes jamais en difficulté. Il y a parfois des questions auxquelles il est difficile de répondre en conférence, les séances de dédicaces étaient parfois un peu longue… mais bon, on ne va pas commencer à se plaindre de signer des cartes des maillots ou des posters, car d'abord cela rend les enfants heureux, et puis beaucoup aimeraient être à notre place.
Un petit mot sur les Ambassadeurs qui vont accompagné ?
Il n'y a eu que de belles rencontres. Au début, juste avant le départ, c'était un peu comme dans le vestiaire, quand on arrive au club, ou que des nouveaux sont là, on se serre la main pour montrer qu'on est là, pour s'affirmer un peu. Et puis l'atmosphère se détend, ça va très vite.
Sur l'opé, on se retrouve très rapidement, car en partageant les repas, les conférences, les ateliers, les liens se créent… le jeudi soir, sans dire que l'on est triste de se quitter, il y a un petit quelque chose qui plane. Tout le monde a joué le jeu, tout le monde a apprécié, et cela nous a permis de faire, comme je le répète, de belles rencontres.
Y en a-t-il un qui vous a le plus marqué ?
Je dirai que sur Versailles, des liens forts se sont tissés avec Yohan Vivalda. C'est le premier à rigoler, mais c'est quelqu'un de très pros, qui savait quand il fallait être sérieux ou quand il fallait lâcher la pression. Sur Rouen, j'ai beaucoup apprécié Hugues Briatte, car nous sommes de la même génération, nous avons pu partager des choses, c'était également très positif. Et puis, j'ai également une pensée pour Raphael Poulain. Il est à part de par son expérience, et il nous a fait partager des choses fortes. En fait, tout le monde apprend les uns des autres durant cette opération.
Quel est votre bilan ?
Ce fut une superbe découverte, et une aventure humaine exceptionnelle. Il y a eu des moments de partages passionnants, des rencontres extraordinaires… c'est donc un bilan extrêmement positif.
Un petit mot sur l'organisation ?
D'un point de vue général, il y a eu un super investissement de tout le monde, c'est une belle équipe qui fonctionne bien et qui tire tout le monde vers le haut. Plus particulièrement, je tiens à remercier deux personnes pour cette belle aventure. D'abord Caroline Bocquet (Ndlr : Responsable Communication et Promotion à la LNR), une personne sincère, très professionnelle, qui a toujours su nous mettre dans de bonne conditions. Ensuite, Jérôme Cazablou, qui est quelque un de très pointu, qui nous mis à l'aise lors des conférences… le top du top !
On dit souvent jamais deux sans trois… partant pour une nouvelle aventure ?
Les yeux fermés ! Dans la mesure du possible, si je suis disponible et que la Ligue le souhaite, je dirai évidemment oui. Vu l'aventure que c'est, il n'y a pas de limites.
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